2ème volume de la collection GAL
(En vente exclusivement chez Amazon)
QUESTION : Quelle a été la motivation première de cet ouvrage ?
REPONSE : Il s'inscrit d'abord dans une collection qui doit comprendre plusieurs ouvrages. Ma motivation première est d'écrire et publier les ouvrages de cette collection. Ils n'existaient à la base que dans le monde des idées ; je dois les faire descendre de là en leur donnant corps pour qu'ils aient aussi une existence au sein du monde physique. Cette matérialisation a été impulsée, chez moi, par la Grande Loge Dorée. Je suis convaincu que d'autres individus sont pareillement influencés par cette Loge en vue de matérialiser d'autres idées, en vue d'accomplir d'autres tâches. Je ne m'occupe que de la part de travail qui me revient. Les premières idées que je devais matérialiser n'ont en réalité pas encore fait l'objet d'ouvrages. J'ai estimé qu'il était préférable avant toute chose de couler les fondations, en quelque sorte, en parlant de cette Loge, de sa nature et de ses buts. C'est ce que j'ai fait dans le 1er ouvrage de la collection. Si je n'avais pas fait cela, j'aurais été obligé à chacun de mes livres de parler de cette Loge sans avoir les moyens (l'espace requis) pour le faire au mieux. En y consacrant le 1er volume, je réglais ce problème : je peux dire à mes lecteurs, dans chacun de mes autres ouvrages, "Si vous voulez en savoir plus sur cette Loge, sa nature et ses buts, procurez-vous le volume 1 de la collection, il vous parle de tout ça." Une fois ce 1er volume écrit et publié, j'ai été amené par les circonstances et au fil de mes discussions avec plusieurs personnes à prendre conscience d'un problème de société qui est celui de la perception que les gens ont de l'argent. Des tas de livres traitent de ce sujet et j'aurais pu me passer de le faire moi-même. Prenez par exemple le livre de T. Harv Eker, LES SECRETS D'UN ESPRIT MILLIONNAIRE, il vous dit beaucoup de bien de l'argent, vous invite à voir l'argent de manière positive et vous explique tout le mal que vous pouvez attirer à vous, endurer, si vous vous mettez à penser à l'argent de manière bancale, négative. D'autres auteurs ont brillamment expliqué cela, comme Wallace D. Wattles, auteur de LA SCIENCE DE L'ENRICHISSEMENT, ou Rhonda Byrne, l'autrice de THE SECRET.
QUESTION : Pourquoi alors avoir écrit ce livre, vous être penché vous aussi sur ce sujet ? Etait-ce bien nécessaire ?
REPONSE : La plupart des gens qui traitent de ces sujets le font en embrassant surtout une vision matérialiste du monde et de la chose financière, pécuniaire. Même les auteurs qui traitent de la "Nouvelle Pensée" et qui aiment parler de Dieu ou du Christ lorsqu'ils parlent de l'argent, du pouvoir de la pensée pour conquérir les trésors de la terre, ont une approche des choses un peu trop matérialiste ; on aurait presque l'impression en les lisant ou les écoutant que la "vie spirituelle" consiste à se mettre mentalement dans un certain état en vue d'attirer ces richesses matérielles. Or, la vraie vie spirituelle s'occupe davantage des choses de l'esprit que des choses du corps, et les trésors de la terre restent des choses du corps, non des choses de l'esprit. Si vous dites aux gens que la conquête des choses du corps est de la spiritualité, vous les trompez, vous les détournez du monde spirituel qui, en soi, n'a que faire du corps - nous le voyons bien quand nous mourons : nous n'avons plus notre corps de chair et, par conséquent, nous perdons tout intérêt pour les choses bassement matérielles, les choses du monde physique, les richesses de la terre, seules les richesses du ciel nous intéressent alors, ceci en dit long sur la différence entre les deux.
QUESTION : Vous parlez donc dans votre livre davantage d'enrichissement spirituel que d'enrichissement matériel ?
REPONSE : Non, je parle des deux. Je parle même davantage, dans ce livre, de l'enrichissement matériel et financier, car tel est le but de ce livre, traiter ce sujet, faire l'éloge de la richesse matérielle et financière. Mais je ne le fais jamais sans tenir compte de la dimension spirituelle de l'être humain, de son devenir. Je fais entrer de la spiritualité dans mon discours, autrement qu'en disant aux gens que Dieu veut qu'ils soient riches matériellement et financièrement et qu'ils doivent donc s'efforcer de s'enrichir dans ces deux domaines. Je leur dis encore moins que cet enrichissement-là est un enrichissement spirituel. Je distingue l'enrichissement intérieur ou spirituel de l'enrichissement matériel et financier. Nous ne parlons pas du tout de la même chose et il ne faut pas les confondre. Si vous les confondez, vous en sacrifiez un au profit de l'autre. Si je vous dis que le vrai enrichissement matériel, financier, consiste à avoir de bonnes pensées, vous saisirez assez facilement que je dis n'importe quoi, car il vous arrive sans doute souvent d'avoir de bonnes pensées, et ce n'est pas ça qui met de l'argent dans votre poche. Si vous bossez chez un patron, votre patron ne vous paye pas pour avoir de bonnes pensées, pour être quelqu'un de sympa, mais pour faire le job pour lequel il vous paye. Mais si je vous dis qu'avoir une vie spirituelle consiste à mener une vie terrestre riche et épanouie par le truchement d'une pensée qui vous enrichit matériellement et financièrement, peut-être penserez-vous que je vous dis là quelque chose de vrai car c'est séduisant, alors que c'est faux. Ici, l'attention reste rivée vers les choses du monde physique, vers les trésors de la terre et leur conquête, elle ne vole pas plus haut, alors que la vraie spiritualité vous incite, au contraire, à tourner votre attention vers les choses du ciel afin de conquérir les trésors du ciel - vous pourriez ainsi être un va-nu-pieds, n'avoir pas un sou en poche, ne rien posséder matériellement, tout en étant incroyablement riche sur le plan intérieur ou spirituel, comme le célèbre yogi Milarepa l'a été de son vivant, se consacrant totalement à son épanouissement intérieur ou spirituel, sans aucun égard pour son corps, pour l'argent, pour les biens matériels, pour la société profane.
QUESTION : Il était donc nécessaire de vous emparer vous aussi de ce sujet, celui de l'argent, celui de la richesse matérielle et financière, afin de faire l'éloge de cet enrichissement, mais tout en faisant la promotion de l'enrichissement intérieur ou spirituel, c'est bien ça ?
REPONSE : C'est tout à fait ça.
QUESTION : Saviez-vous précisément ce que vous alliez raconter dans ce livre ?
REPONSE : Non. Lorsque j'écris je laisse venir ce qui vient, j'écris le plus souvent de manière "automatique", comme je le fais quand je discute avec "mes amis invisibles", mes guides spirituels. Je discute aussi avec eux d'esprit à esprit, je n'ai en fait pas besoin d'écrire pour cela. L'écriture permet juste de coucher ces échanges sur le papier afin d'en avoir une trace écrite, pour pouvoir ensuite y revenir quand je veux. J'ai exposé dans mon livre sur la voyance les techniques permettant de faire cela, d'entrer ainsi en communication avec ses guides, et je vous incite à y jeter un œil si ce sujet vous intéresse. Lorsque j'écris mes livres, mes amis invisibles ne sont jamais très loin, ils m'inspirent. Ils interviennent pour me glisser des idées, orienter le fil de l'écriture, pour me dire qu'ils sont d'accord avec ce que je raconte ou qu'ils ne sont pas du même avis et m'en donnent les raisons, etc.
QUESTION : C'est donc une collaboration plutôt qu'un travail en solitaire.
REPONSE : Oui, même si c'est moi qui me tape le plus gros du travail ! (rire) Je plaisante. En vérité, j'ai pu comparer plusieurs fois ce que j'obtiens quand je travaille seul, avec mon propre intellect, et quand je travaille en laissant mes guides faire leur boulot : me guider. Je peux passer, moi-même, une heure sur une page et n'en pas être satisfait ; dès que je travaille de cette autre manière, me mettant en condition (transe légère) pour rédiger mes ouvrages de manière "automatique", les idées viennent beaucoup plus facilement, c'est comme un robinet ouvert, je n'ai pas même à m'occuper de l'ordre dans lequel me viennent ces idées, de l'ordre dans lequel je dois les coucher sur le papier, tout me vient au fur et à mesure comme cela doit me venir. Je ne découvre le plan de l'ouvrage qu'au fur et à mesure, comprenant pourquoi on m'a fait d'abord écrire ceci pour en arriver ensuite à parler de cela.
QUESTION : Ah oui ?
REPONSE : Oui, c'est comme cela que les choses se passent. Et encore souvent j'y mets un frein.
QUESTION : Vous y mettez un frein ? Pourquoi ?
REPONSE : Car je dois pouvoir moi-même comprendre de quoi on me parle, valider ne serait-ce qu'intellectuellement (comme une vérité possiblement vraie) ce qu'on est en train de me servir sur un plateau. Si je laisse venir absolument tout ce qui cherche à venir, je ne suis pas sûr de tout comprendre, et mes lecteurs seront peut-être dans la même confusion. Mes amis invisibles me laissent alors intervenir là où je dois le faire pour que mon propos ne dépasse pas cette ligne, même s'il m'arrive ça et là de dire des choses que je ne sais pas et dont je ne peux pas vérifier l'exactitude, ce qui me met souvent mal à l'aise, au point parfois de couper chez moi toute envie de poursuivre mon travail sur cette lancée. J'en suis ainsi déjà arrivé à jeter aux ordures (à effacer) tout ce que j'avais écrit, estimant que je ne pouvais pas servir à mes lecteurs pareils écrits. Un livre en particulier a connu ce sort plusieurs fois, c'est-à-dire que j'ai commencé sa rédaction, j'ai bien avancé, puis je l'ai détruit ; ensuite, regrettant mon geste, j'ai recommencé, et une fois de plus j'ai fini par le détruire ; et j'ai recommencé... j'ai "joué" à ça plusieurs fois en 2023-2024, une horreur !
QUESTION : J'imagine ! Comment expliquer cela ?
REPONSE : Très simplement. Les causes étaient généralement doubles :
- je disais des choses comme si elles étaient vraies alors que je n'étais pas en capacité de vérifier leur exactitude (ne fût-ce qu'en ressentant très fortement au fond de moi leur exactitude) ;
- je disais des choses qui pouvaient m'attirer des ennuis.
QUESTION : Ah oui ?
REPONSE : Oui. Sur le plan spirituel, je me fichais des risques et estimais que dire la vérité était nécessaire. Sur le plan matériel, je me disais que ce n'était vraiment pas une bonne idée. J'ai manqué de courage.
QUESTION : Sur quels sujets portaient ces points sensibles ?
REPONSE : Sur la seconde guerre mondiale et ceux qui ont, dans l'ombre, tiré les ficelles.
QUESTION : Vous avez eu peur de parler de ça ?
REPONSE : J'en ai parlé librement en écrivant de manière "automatique", mais mon intellect est vite intervenu pour jouer les censeurs : "Hop ! hop ! hop ! non, non, non, on va éviter de dire ça... t'as vraiment envie de t'attirer des ennuis ou quoi ?" (rire)
QUESTION : Là vous suscitez ma curiosité... On peut en savoir plus ?
REPONSE : Non, je ne préfère pas. Je n'ai pas encore décidé si j'allais parler de cela dans ce livre ou pas, ni si j'allais être capable, cette fois, d'aller au bout de sa rédaction. Mais vous vous doutez qu'après avoir recommencé à l'écrire et avoir bien avancé dans sa rédaction plusieurs fois, quasiment tout son contenu m'est resté en tête. Je sais donc en très grande partie de quoi ça parle.
QUESTION : Ce livre doit-il faire partie de la collection GAL ?
REPONSE : Non, pas du tout. C'est un livre qui doit parler de la situation mondiale actuelle et qui, pour ce faire, n'hésite pas, ça et là, à aborder des sujets sensibles, comme celui de la 2de guerre mondiale et des ombres qui entourent tel ou tel point... Il s'inscrit, pourrait-on dire, dans la continuité d'un autre de mes livres écrit durant la période covid. Mais je n'en dirai pas plus ici, car tel n'est pas le thème de notre entretien et je n'ai pas non plus envie de m'étendre davantage sur le sujet pour le moment.
QUESTION : Je comprends. De quoi nous parle donc le second volume de la collection GAL ?
REPONSE : Ce livre, comme son titre l'indique, devait faire l'éloge de la richesse (matérielle et financière). Notre société est loin d'être parfaite et beaucoup de gens souffrent de la pauvreté, pendant que d'autres personnes semblent avoir tout l'or du monde et n'utilisent pas cet avantage pour faire le bien mais pour pourrir nos existences. Cela a eu pour conséquence de développer chez énormément de gens cette impression que l'argent est un mal et que le fait de vivre dans l'abondance n'est que l'apanage des escrocs ou bandits de tous bords. Cette manière de penser ne s'accorde pas du tout avec celle de la Grande Loge Dorée qui rayonne par sa positivité. L'image positive de l'argent doit être réhabilitée tout comme l'idée de l'abondance, de l'opulence, du confort matériel. Il ne s'agit pas ici de faire l'éloge de l'enrichissement matériel et financier au détriment de l'enrichissement intérieur ou spirituel, évidemment, mais de voir les trois comme un même mouvement en avant vers un monde meilleur, une société plus appréciable, une vie plus agréable, plus saine, plus juste, plus tout. L'image mentale qui m'apparaît et qui a motivé l'écriture de ce livre est celle d'une société, celle de demain, qui rayonnera elle aussi par sa positivité. Lorsque j'observe cette image, je n'y vois rien de mauvais. Et comme cette image me parle de l'argent et de la richesse matérielle (tout en me parlant aussi de la spiritualité), je n'y vois que des choses très positives, je vois l'argent en positif, la richesse matérielle en positif, comme je vois la vie spirituelle en positif. C'est cette image positive que je capte et qui me fait écrire cela. Je devais donc faire l'éloge de l'argent, des trésors de la terre, comme cela m'apparaissait positivement au contact de cette image positive, cliché de la société de demain, d'un avenir encore lointain.
QUESTION : Votre livre nous parle donc de la société de demain ?
REPONSE : Non. La société de demain, telle que je la perçois dans ce cliché mental, diffère beaucoup de la nôtre. Elle rayonne d'une manière positive telle qu'elle donne l'impression que nous n'aurons alors plus à nous soucier du mal, tel qu'il nous frappe si durement de nos jours. Dans ce cliché, la dualité bien-mal n'est plus du tout aussi visible, je ne la perçois quasiment pas, c'est donc qu'elle doit être d'une nature plus subtile, ce qui revient à dire que pour l'heure nous menons une existence très grossière, au sein d'une société qui est elle-même très grossière. Nous sommes encore des sauvages. Le livre que j'ai écrit ne peut pas s'adresser à nous comme il le ferait en présence des gens de demain, il s'adresse à nous en tenant compte de ce que nous sommes, de la grossièreté de notre société. Le cliché mental rayonne positivement et a pour couleur dominante le jaune, un jaune lumineux, pastel, éclatant. D'autres couleurs (secondaires) peuvent être perçues, toutes chaudes, pastelles, comme un certain rose, un orange, etc. Chaque couleur ayant une signification, se rapportant à quelque chose de précis, ou à un ensemble précis de choses. Je ne saurais en dire plus pour le moment car je n'ai pas creusé davantage ce sujet, je n'ai pas cherché à en savoir davantage, ce n'était pas la priorité. Je m'empare donc de cela mentalement, je laisse cela briller sur moi, sur mon mental, imprimer dans mon mental certaines informations, et j'essaye ensuite de coucher ces informations sur le papier. Mais, comme je l'ai dit, ce qui cherche ainsi à être communiqué ne peut pas le faire sans tenir compte du degré de grossièreté qui nous caractérise et qui caractérise notre société, alors le propos, si beau, si éclatant, si pur, si tout, perd de sa superbe en nous parvenant, en descendant jusqu'à nous, en s'abaissant à notre niveau pour que nous puissions en tirer quelque chose. C'est ce qu'il s'est passé ici avec ce livre. J'ai évoqué dans le 1er volume de la collection la manière dont les informations relatives à la Grande Loge Dorée, à sa doctrine, informations d'origines solaires, nous parviennent, passant par des abaissements successifs, des densifications successives :
1er triangle (tout en haut) : ESPRIT de la Grande Loge Dorée :
- l'archétype solaire ("divinité" solaire) ;
- GAL (le Maître des Maîtres de la Grande Loge Dorée) ;
- les Maîtres de la Grande Loge Dorée ;
2ème triangle (au centre) : COEUR de la Grande Loge Dorée :
- GAL (le Maître des Maîtres de la Grande Loge Dorée) ;
- les Maîtres de la Grande Loge Dorée ;
- les Groupes (dirigés par les Maîtres) ;
3ème triangle (tout en bas) : CORPS de la Grande Loge Dorée :
- les Maîtres de la Grande Loge Dorée ;
- les Groupes (dirigés par les Maîtres) ;
- le reste de l'humanité.
Nous voyons là une densification progressive des idées qui nous viennent de l'archétype solaire. C'est le même genre de densification qui a fait que je me suis laissé pénétrer par ledit cliché mental que j'ai ensuite abaissé à notre niveau grossier. Ce livre reflète donc assez fidèlement l'intention première, mais intention devant s'abaisser à notre niveau pour que nous puissions en comprendre ce que nous avons besoin de comprendre de nos jours pour avancer vers ce but sublime, celui qui apparaît en observant ce cliché. Si notre société avait été plus avancée, tant sur le plan matériel que sur le plan spirituel, si elle avait été moins grossière, le contenu de ce livre aurait différé, car alors l'image mentale n'aurait pas eu besoin de descendre aussi bas, d'être à ce point "salie" par nos basses vibrations pour être comprise (partiellement). Je vois ainsi deux couleurs qui prédominent quand je regarde ce livre, tel qu'il est écrit : le même jaune resplendissant du cliché mental, et une certaine noirceur qui s'y est ajoutée et qui est la résultante de notre grossièreté, noirceur qui exprime l'abaissement vibratoire un tantinet négatif pourrions-nous dire mais nécessaire.
QUESTION : D'accord. Quel est le but de ce livre ? Pensez-vous l'avoir atteint ?
REPONSE : Je l'ai déjà atteint en rédigeant ce livre et le publiant comme je l'ai fait car c'est ce que je devais faire. Son but ? il peut se résumer aux deux petits textes qui précèdent le 1er chapitre. J'aurais pu n'écrire que cela, tout y était. Si vous vous pénétrez bien de l'idée qui émerge de ces deux textes au point de pouvoir penser ainsi, ce livre aura pleinement atteint le but pour lequel il a été écrit : l'implantation de cette idée dans le crâne des gens. Voici ces deux petits textes.
**********
DANS UN MONDE DUALISTE…
(une simple question de bon sens)
Il
vaut mieux être beau que laid.
Il
vaut mieux être en bonne santé que malade.
Il
vaut mieux être heureux que malheureux.
Il
vaut mieux avoir de la chance qu’être malchanceux.
Il
vaut mieux sentir bon que sentir mauvais.
Il
vaut mieux être bien habillé et bien chaussé que mal habillé et mal chaussé.
Il
vaut mieux être bien coiffé que mal coiffé.
Il
vaut mieux être aimé qu’être détesté.
Il
vaut mieux aimer son prochain que haïr son prochain.
Il
vaut mieux être intelligent qu’être idiot.
Il
vaut mieux être savant qu’être ignare.
Il
vaut mieux être bien logé que mal logé.
Il
vaut mieux avoir des amis que des ennemis.
Il
vaut mieux se régaler plutôt que d’éprouver du dégoût en avalant son repas.
Il
vaut mieux réussir sa vie qu’échouer lamentablement.
Il
vaut mieux avoir un bon boulot qu’un mauvais job.
Il
vaut mieux s’entendre avec ses collègues de travail que l’inverse.
La
paix aussi vaut mieux que la guerre.
…
De
même, IL VAUT MIEUX ÊTRE RICHE QUE
PAUVRE.
LE BONHEUR ET L’ARGENT
(encore une
simple question de bon sens)
Vaut-il
mieux avoir l’argent ou le bonheur ?
ù
Pourquoi
choisir entre l’un et l’autre quand on peut avoir les deux ?
ù
Il
vaut mieux être riche que pauvre.
Il
vaut mieux être heureux que malheureux.
Il
vaut mieux être pauvre et heureux que pauvre et malheureux.
Il
vaut mieux être riche et heureux que riche et malheureux.
hg
« J’ai été riche et pauvre tout comme j’ai été heureux et
malheureux, oui, mais je vous assure que lorsque j’étais pauvre et malheureux
j’étais plus malheureux que lorsque j’étais riche et malheureux. »
Robert T. Kiyosaki
GUIDE POUR
INVESTIR – Tout ce qu’il faut savoir sur les investissements des gens riches
que ne font pas les gens pauvres et de la classe moyenne !
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Voici le sommaire de cet ouvrage, pour vous donner une idée de son contenu :
Introduction
Avant-propos
Dans un monde
dualiste… (une simple question de bon sens)
Le bonheur et
l’argent (encore une simple question de bon sens)
Chapitre 1 –
L’homme qui n’aimait pas l’argent
Chapitre 2 – De
l’hypocrisie des pauvres qui crachent leur venin sur l’argent et les riches
Chapitre 3 –
L’argent est « sale » et les riches sont des
« pourritures »
Chapitre 4 – La
pauvreté n’est pas une vertu, et il n’y a rien de noble à être pauvre
Chapitre 5 – Les
riches sont plus généreux que les pauvres
Chapitre 6 –
Laissez les pauvres crever de faim !
Chapitre 7 – Du
nivelage vers le haut
Chapitre
8 – « Il n’y a pas que l’argent qui compte dans la vie ! »
I
– La richesse intérieure ou spirituelle
II
– La richesse matérielle
III – La richesse
financière
Chapitre
9 – La « pauvreté », qu’est-ce que c’est ?
I
– La pauvreté intérieure ou spirituelle
a)
La pauvreté du
corps
b)
La pauvreté du
cœur
c)
La pauvreté de
l’esprit
II – La pauvreté matérielle
III – La pauvreté financière
Chapitre 10 – Deux
façons de penser diamétralement différentes
Chapitre 11 –
L’aveuglement de Ploutos par Zeus
Chapitre
12 – Les deux conditions pour s’enrichir
1ère
condition : Elle doit se faire une bonne image de l’argent, de la
richesse, des riches
2ème
condition : Apprendre les règles de l’argent, le jeu de l’argent ;
autrement dit : attachez une grande importance à votre éducation
financière et à la mise en pratique de ce que vous apprendrez
Chapitre 13 –
L’idéal et le sadomasochisme
Chapitre
14 – Rejet du sadomasochisme et adoption de l’idéal
I
– Remplacer le sadisme par la vie idéale : vos objectifs
II – Remplacer le
masochisme par le moi idéal
Chapitre 15 – Comment
essayer de devenir riche peut vous rendre meilleur
Chapitre 16 – La
beauté de l’argent, la beauté de la richesse
Chapitre 17 –
L’amour de l’argent, ou le bhakti yoga (yoga de l’amour) au service de votre
enrichissement financier
Chapitre 18 –
Faire de votre plus grand défaut votre plus grande qualité
Chapitre 19 –
Création d’un « Soleil », ou le karma yoga au service de votre
enrichissement
Chapitre 20 –
L’autre message de ce symbole
Chapitre 21 – Ce
que font les pauvres et ce qu’ils devraient faire
Chapitre
22 – Les trois joyaux du bouddhisme appliqués à l’enrichissement
I
– (le Bouddha) le but à atteindre
II
– (le dharma) le chemin qui y conduit
III – (le sangha)
la communauté des gens qui suivent ce chemin ou qui ont déjà atteint au but que
vous voulez atteindre
Chapitre
23 : Votre « livre des rêves »
I
– Comment utiliser votre livre des rêves
II
– À quoi est-ce que cela sert ?
III
– L’autre effet de cet exercice
Points importants
à retenir
Chapitre
24 : Le mouvement de l’argent
Chapitre
25 : Constituez-vous un capital
Chapitre
26 : Différence entre un actif et un passif
Chapitre
27 : La notion d’« unités vendues »
Chapitre
28 : L’effet de levier
Chapitre
29 : Votre profession de foi
Chapitre
30 : Aimez-vous plus la richesse financière ou la richesse
matérielle ?
Chapitre
31 : Le système des comptes séparés
Chapitre
32 : De la nécessité d’équilibrer vos différentes formes de richesses
Chapitre
33 : Le rituel de GAL, Seigneur de la Richesse et de la Prospérité
·
De l’usage des
bougies
·
Bougie
chauffe-plat
·
L’encens
·
Votre temple
·
Symbolisme de la
pyramide
·
Dressez votre
autel dans la bonne direction
·
Le rituel
(1) : Ouverture du rituel
·
Le rituel
(2) : Bâtir le temple (la pyramide de GAL)
·
Le rituel
(3) : Évocation/invocation
·
Effets de ce
rituel
·
Peut-on effectuer
ce rituel pour quelqu’un d’autre ?
Chapitre
34 : Au sujet de la masse monétaire mondiale et des riches qui
« accaparent » l’argent
Chapitre
35 : Jusqu’à quel point faut-il s’enrichir ?
Chapitre
36 : La pauvreté et le défi environnemental
Chapitre
37 : Le « business on paper » (le
business sur le papier)
Chapitre
38 : Apprenez à maîtriser vos pensées pour réussir
Chapitre
39 : Accepter le spirituel pour jouir du matériel
Chapitre
40 : Que penser du salaire universel ? Est-ce une bonne ou une
mauvaise idée ?
I
– Les bons côtés du salaire universel
II
– Les premiers problèmes qui se posent
III
– Les garde-fous ou règles à observer
IV – Les dérives
du système
Chapitre
41 : Comment la Grande Loge Noire incline les gens vers le mal dans ce
domaine
Conclusion
QUESTION : A en juger par le titre de certains de vos chapitres, vous n'êtes pas tendre avec les pauvres.
REPONSE : Détrompez-vous. Tout ce que je dis, je le dis dans leur intérêt. J'utilise volontairement ça et là des formules choc pour éveiller les consciences, faire comprendre aux gens qu'il faut arrêter d'être hypocrite. On ne gagnera rien à se voiler la face, à faire l'autruche. Si un pauvre me dit que l'argent est un mal, que les riches sont tous forcément pourris jusqu'à l'os, je ne peux que l'inviter à rester pauvre, sans le sou ; et pour faire de lui un saint, un homme très heureux, je suis même prêt à lui piquer le peu d'argent qu'il a en sa possession, puisqu'à ses yeux l'argent est un mal, la cause de tous les maux, et qu'être riche équivaut forcément à être une ordure. Si tel est le cas, l'inverse est également vrai : plus vous êtes pauvre, plus vous êtes une personne merveilleuse, admirable et heureuse. S'il est pauvre, il n'a donc - suivant son raisonnement - aucune raison de se plaindre, il devrait même s'efforcer d'être encore plus pauvre, pour devenir un meilleur homme ! Et il devrait remercier chaleureusement toutes les personnes qui cherchent à le dépouiller ! (rire)
QUESTION : (rire) Merci pour cet entretien.
REPONSE : Merci à vous.
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