Le principe du "sauveur" en religion et son exploitation à des fins de manipulation mentale par le système en place


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I - La croissance humaine

L'humanité a toujours été accompagnée dans son développement depuis sa création sur la Terre. Ceci, nous le devons à un phénomène des plus naturels que chacun de nous manifeste à chaque incarnation en passant par ces différentes phases du développement humain que sont :
  • l'enfance ;
  • l'adolescence ;
  • la vie adulte.
L'ENFANCE : D'abord, en tant que nourrissons, nous dépendons totalement des adultes pour survivre, pour nous nourrir, pour nous vêtir, etc. Puis, en tant que simple enfant, même si nous devenons un tout petit peu plus autonomes (nous sommes capables de nous tenir debout sans assistance, de manger seuls, etc.), nous avons quand même besoin des adultes pour tout le reste. La période de l'enfance est donc une période au cours de laquelle nous dépendons totalement des autres, nous avons absolument besoin des autres, des humains qui ont déjà dépassé ce stade de développement depuis longtemps et qui sont totalement autonomes, donc en capacité de nous enseigner cette autonomie.

L'ADOLESCENCE : C'est, dit-on, "l'âge ingrat". La personne n'est plus totalement une enfant et elle n'est pas encore totalement une adulte, elle a le cul entre deux chaises, partagée entre le manque d'autonomie qui lui reste et qui fait qu'elle dépend encore des adultes (de ses parents) pour ceci ou cela, mais elle fait montre chaque jour de davantage d'autonomie, ce qui se manifeste par ses petites ou grandes rébellions : elle désobéit aux parents, commence à penser par elle-même, veut prendre ses propres décisions et aspire à de plus en plus d'autonomie, elle se détache de plus en plus du joug parental, du joug adulte, ou y aspire de plus en plus.

LA VIE ADULTE : La personne est devenue autonome, elle prend ses propres décisions, peut se débrouiller par elle-même, elle est désormais responsable d'elle-même, de ce qu'elle pense, de ce qu'elle dit, de ce qu'elle fait.

II - Intervention des pitris lunaires et des Vénusiens dans notre évolution

L'humanité reproduit ce modèle dans son développement. Quand notre humanité est apparue sur la surface de la Terre, nous étions tels des enfants incapables de nous débrouiller seuls, nous avions besoin d'être guidés par des êtres ayant déjà, depuis longtemps, dépassé ce stade de développement. Les "pitris lunaires" furent les premiers à jouer ce rôle :
  1. en fabriquant nos corps physiques (et se revêtant un certain temps de ces corps pour ce faire) ;
  2. en nous les cédant durant la période lémurienne (qui a précédé la période atlante) ;
  3. puis en étant nos premiers gouverneurs ou "rois divins".
"Pitris" veut dire "ancêtres". Les "pitris lunaires" sont donc nos ancêtres de la Lune, dans le sens où ils furent humains avant nous et ils l'ont été au sein de cette planète qu'est la Lune. La Lune est donc plus vieille que la Terre. Et si elle nous apparaît aujourd'hui sous la forme qu'on lui connaît, celle du satellite naturel de la Terre, un astre desséché, ce n'est que parce que la vitalité qui anime aujourd'hui la Terre lui a été cédée par la Lune. La Lune est donc la mère de la Terre et elle lui tourne autour comme une mère tournant autour de l'enfant qu'elle a mis au monde, lui donnant la tétée. C'est ce qui a valu à la Lune d'être souvent représentée par l'iconographie religieuse sous les traits d'une mère portant son enfant dans ses bras ou allaitant ce dernier. C'est ce qui fait aussi que le cycle menstruel, chez la femme, est calqué sur le cycle de la Lune qui est un cycle de 28 jours. Et parce que le nombre occulte de la Lune est le 9 (tandis que celui de la Terre est le 10), on observe que la grossesse chez les humaines dure en principe 9 mois. On comprend mieux la vénération dont la Lune a pu faire l'objet tout au long des millénaires ou encore pourquoi elle fut choisie par certaines civilisations ou certains peuples pour établir leur calendrier, étant considérée comme un astre majeur pour les raisons que je viens de donner.

Ainsi, les pitris lunaires, qui ne vivent plus sur le plan terrestre mais qui évoluent, comme tous les autres habitants de la Lune, sur le plan métaphysique ou spirituel de leur astre, furent les créateurs de nos corps physiques ; ils s'en revêtirent un certain temps pour ce faire, puis nous les cédèrent durant la période lémurienne, permettant à notre humanité de commencer son développement sur la Terre en tant que telle. Nous étions alors comme des enfants, incapables de nous débrouiller seuls. Si nous avions été abandonnés à nous-mêmes, nous nous serions vite comportés comme des bêtes. Notre évolution aurait été beaucoup plus lente. Les pitris lunaires s'incarnèrent parmi nous pour nous servir de guides. Nous leur devons la civilisation, les constructions cyclopéennes (car nous étions des géants à cette époque), la science-religion archaïque, mère de toutes les religions, etc.

Toutefois, les pitris lunaires n'avaient pas vocation à jouer éternellement ce rôle. Durant le cycle lunaire, ils étaient humains comme nous. Mais au terme de ce cycle, ils passèrent à un stade d'évolution supérieur. Ils devinrent donc les créateurs de nos corps physiques, et là devait s'arrêter, en principe, leur intervention dans notre évolution. C'est donc durant la période lémurienne que firent irruption dans nos existences des habitants de la planète Vénus. Les Vénusiens ne s'incarnent plus depuis fort longtemps, eux non plus, ayant dépassé ce stade, et vivent donc, comme les Luniens, dans la partie métaphysique ou spirituelle de leur planète ("l'au-delà", qu'on n'appelle ainsi que parce que cela se situe au-delà de ce que nos sens physiques sont capables de percevoir). Ces Vénusiens en étaient (et sont) encore, comme nous, au stade humain de leur évolution, quoique beaucoup plus avancés que nous, et c'étaient eux qui étaient ainsi parfaitement destinés à nous servir de guides, de "grands frères" et de "grandes sœurs", si l'on peut dire. Ils intervinrent donc pour remplacer les pitris lunaires dans leur rôle de guides de l'humanité, de gouverneurs ou "rois divins".

Ils constituèrent dès cette période lémurienne (il y a près de 18 millions d'années) ce que la terminologie occulte appelle "la Grande Loge Blanche". Dès le début de leur intervention, ils s'employèrent à former spécialement les humains les plus aptes à les remplacer afin que ces derniers pussent au plus vite occuper leurs fonctions. C'est ce qui fait que cette Grande Loge Blanche est aujourd'hui composée à la fois d'extraterrestres (Vénusiens, etc.) et d'humains de la Terre.

III - La gouvernance des peuples : vers une autonomie de plus en plus grande

Cette Grande Loge Blanche s'appuie elle aussi sur le principe d'évolution en 3 phases pour nous guider :
  1. enfance ;
  2. adolescence ;
  3. âge adulte.
ENFANCE : Nous étions d'abord totalement dépendants de ces êtres supérieurs pour nous diriger, je l'ai dit, et c'est pourquoi, dans un premier temps, les pitris lunaires comme les Vénusiens et autres membres (humains) de la Grande Loge Blanche jouèrent le rôle de nos guides, de nos gouverneurs ou "rois divins", s'incarnant parmi nous pour ce faire. Le type de gouvernance qui prévaut alors est, pourrait-on dire, la DICTATURE. Mais c'est une gentille, une sage dictature - le dirigeant ordonne, les dirigés obéissent au doigt et à l'œil.

ADOLESCENCE : Nous entrons ici dans l'âge ingrat. Nous ne sommes plus tout à fait des enfants dépendant de leurs guides pour tout, et nous ne sommes pas encore totalement des adultes capables de nous prendre totalement en main. La Grande Loge Blanche n'intervient plus directement dans notre gouvernance politique, sociale, elle s'en remet à nous, sachant que nous sommes à présent suffisamment matures pour apprendre à nous gouverner nous-mêmes et que nous apprendrons de nos erreurs. La Grande Loge Blanche nous laisse donc nous diriger nous-mêmes, faire nos propres choix, elle nous laisse faire des erreurs aussi, car elle sait que nous apprenons de ces erreurs, je le redis, et veille juste à ce que, s'agissant de ces erreurs, nous ne dépassions pas une certaine ligne rouge. Elle intervient de X ou Y manière pour nous en empêcher ou pour remettre de l'ordre dans nos sociétés ou civilisations quand cela arrive. Le type de gouvernance adopté est ici, disons, idéalement, celui que nous appelons "démocratie paternaliste ou représentative" : nous choisissons nos représentants qui, dès lors, prennent des décisions à notre place pour diriger au mieux nos sociétés. Si nous sommes satisfaits par leur travail, nous pouvons les laisser occuper ce poste ; si nous ne sommes pas satisfaits par leur travail, nous pouvons les remplacer par d'autres représentants. La Grande Loge Blanche intervient le plus souvent, à ce stade de notre évolution, en envoyant ça et là, de temps en temps, un SAUVEUR. C'est généralement un fondateur de religion ou un être éveillé spirituellement qui vient nous rappeler les bons principes suivant lesquels nous devrions diriger nos vies. Jésus-Christ, Moïse, le Bouddha, le Manou, Lao Tseu, Hermès Trismégiste, le prophète Muhammad, Franz Bardon, le Maître Morya, le Maître Koot-Houmi, etc. sont autant de SAUVEURS qui remplirent cette fonction. Leur intervention nous rappelle, entre autres, les bonnes valeurs humaines, les valeurs morales ou éthiques qui devraient être les nôtres. Sans ces interventions régulières, ça et là, l'humanité aurait depuis longtemps sombré dans le chaos, dévorée par ses mauvais penchants.

Les gens qui pensent que les religions n'existent que pour nous égarer et nous soumettre à leur dictat se trompent. Elles sont là avant tout, à la base, pour nous guider. Ce n'est qu'au fil du temps, lorsque les SAUVEURS qui les ont initiées ne sont plus là pour nous bien enseigner les choses, que les humains se mettent à mal interpréter les enseignements initiaux, les dénaturant, faisant se dégrader les religions au point où au lieu de nous servir elles jouent contre nous. On ne peut pas, par exemple, raisonnablement croire que le christianisme d'aujourd'hui, celui qui est prêché dans les églises, est en tous points - dans sa forme et dans son fond - exactement le même que le christianisme premier, celui qui était prêché par Jésus de son vivant. Le christianisme s'est beaucoup dégradé depuis la disparition de Jésus qui l'a initié. Et il en est de même pour toutes les autres religions. D'où la nécessité de faire intervenir ça et là, de temps en temps, un "SAUVEUR" qui jouera le rôle de réformateur, dans le domaine de la religion, ou qui rappellera l'enseignement initial à ceux qui l'ont oublié, ou qui apportera des changements salutaires dans l'instruction religieuse de manière à ce qu'elle puisse s'adapter idéalement au moment présent et aux défis nouveaux qui se présentent en chemin.

VIE ADULTE : La Grande Loge Blanche nous incite donc à l'autonomie, stimulant autant que possible notre aptitude à nous gouverner nous-mêmes, aussi bien sur le plan matériel que sur le plan spirituel. Et c'est l'avenir qui nous attend. Une société au sein de laquelle chacun sera devenu un individu éclairé et responsable. Et les décisions seront prises en commun. Nous aurons alors quitté le mode de gouvernance paternaliste ou représentatif pour adopter la vraie démocratie, si l'on peut dire, la démocratie PARTICIPATIVE. Nous décidons collectivement de tout ce qui nous concerne, plutôt que de laisser quelqu'un ou une poignée de représentants décider de tout à notre place.

IV - La situation actuelle

La société humaine, telle qu'elle nous apparaît aujourd'hui, se présente à nous sous les traits de l'adolescence. Nous ne sommes plus vraiment des enfants, mais nous n'avons manifestement pas encore la sagesse qui devrait transparaître chez tous les adultes. Notre société est capricieuse, c'est l'âge ingrat, nous essayons de prendre le pouvoir, de nous diriger nous-mêmes au mieux, mais nous ne le faisons qu'avec beaucoup de maladresse, en commettant énormément d'erreurs. Ces erreurs ne sont pas toujours gravissimes, mais elles le sont parfois.

Même si ce stade de notre évolution sociale place la démocratie paternaliste ou représentative au cœur du système, comme un centre névralgique qui tend toujours à nous conduire vers ce type de gouvernance, nous faisons dans les faits, plus ou moins, l'expérience des 3 modes de gouvernements au fil des époques, des sociétés, des civilisations qui naissent et meurent :
  1. tantôt nos sociétés sont plus marquées par la dictature ou le totalitarisme (dans le bon sens ou dans le mauvais sens du terme) ;
  2. tantôt nos sociétés privilégient les gouvernements de type "démocratie représentative, paternaliste" (dans le bon sens ou dans le mauvais sens du terme) ;
  3. tantôt encore nos sociétés manifestent davantage d'inclination pour la "démocratie participative" (la populace déterminant elle-même ses propres règles de vie en société, les gens prennent ensemble les décisions, etc. - et ceci aussi dans le bon sens ou dans le mauvais sens du terme).
Ces tendances se manifestent généralement comme suit :
  1. [Enfance] D'abord la dictature ou le totalitarisme.
  2. [Adolescence] La populace, qui quitte l'enfance pour se rapprocher de la vie adulte, aspire à de plus en plus d'autonomie. Le pouvoir en place et la populace entrent en conflit : le pouvoir veut se maintenir en place, et la populace veut s'en émanciper. Il en résulte ceci : soit c'est le pouvoir qui l'emporte et la dictature s'intensifie, soit c'est la populace qui l'emporte et le pouvoir en place fait une avancée vers davantage d'autonomie populaire en instaurant un régime de type "démocratie paternaliste ou représentative" : on laisse le peuple choisir ses représentants qui prendront alors toutes les décisions les concernant, ce qui revient à choisir, dans les faits, son dictateur, puisque, dans la pratique, on le constate tous les jours, nos représentants nous imposent souvent des choses que nous ne voulons pas. Dans le meilleur des cas, ces représentants font bien leur travail et nous n'avons pas à nous en plaindre ; mais dans la plupart des cas ce n'est pas ce qui arrive, ce système finit par se corrompre sous l'effet de certaines forces malignes, et nos représentants ne représentent plus qu'eux-mêmes et les lobbies qu'ils soutiennent pour X ou Y raison.
  3. [Vie adulte] Alors la société entre dans une nouvelle étape de son développement : la populace ne supporte plus cette situation et souhaite cette fois prendre le pouvoir dans sa totalité, elle souhaite se gouverner elle-même, autrement dit mettre fin à la démocratie représentative, paternaliste, pour embrasser une vraie démocratie, une démocratie participative, ou chaque citoyen est appelé à donner son avis sur tout par le truchement du référendum. Et cet avis a valeur d'ordre. Ici aussi un confit s'engage d'abord entre le pouvoir en place et la populace : le pouvoir en place veut conserver ce système qui lui sied bien (démocratie représentative, paternaliste), et la populace ne veut plus rien lui céder, elle veut se diriger elle-même et ce dans tous les domaines. L'attitude du pouvoir en place qui se sent menacé dans sa survie est de tout faire, alors, pour faire reculer la démocratie et pour replonger la société dans la dictature ou le totalitarisme. Nous voyons en effet ce pouvoir en place instaurer des mesures de plus en plus liberticides. La populace, de son côté, réagit "bien" ou "mal" (au regard de ce gouvernement en place) : ou bien elle se laisse faire, dans ce cas on s'achemine vers de plus en plus de dictature, de totalitarisme, ou bien elle se rebelle et est prête à tout casser, à tout renverser pour prendre le pouvoir, auquel cas elle finit par y arriver, par récupérer le pouvoir, par se rendre maîtresse de sa destinée, maîtresse d'elle-même, décidant de tout pour elle-même sans se tourner vers aucune autorité, elle fait elle-même autorité.
Et nous voyons le plus souvent ce cycle recommencer encore et encore.

Quand les Gilets Jaunes manifestaient, menaçant de renverser le pouvoir en place par la force s'il le fallait, quand ils prônaient le RIC (Référendum d'Initiative Citoyenne), nous assistions à des manifestations d'une société adolescente cherchant à obtenir de plus en plus d'autonomie, se sentant de plus en plus appelée à la vie adulte. Que s'est-il passé ? Le pouvoir en place a accentué la répression du peuple par la violence et a étouffé le mouvement pour empêcher cette société de passer au stade supérieur. Nous avons donc régressé dans notre évolution sociale, à tel point, en vérité, que le pouvoir en place a même réussi, un certain temps, à nous imposer une vraie dictature, un vrai totalitarisme, durant la période C19.

Les faits donnent donc raison au modèle que je dépeins ici.

V - Les "sauveurs" préfabriqués du pouvoir en place

Il est toujours bien pratique, bien agréable, bien confortable de laisser les autres faire tout le sale travail à notre place. Ce contexte - cette inclination psychologique - favorise l'émergence de "faux prophètes", de faux "sauveurs". Nous les voyons en politique se présenter à nous comme "la solution" : "Votez pour moi et je résoudrai tous vos problèmes !" Mais ces politiciens font partie du système en place, de cette démocratie représentative ou paternaliste que les citoyens les plus matures veulent balayer, remplacer par la vraie démocratie, la démocratie participative.
Nous avons vu que cette inclination psychologique a rendu très attractif le narratif "Trump sauveur" soutenu par le mouvement "Q" ou "Qanon". Des tas de gens se sont mis à voir Trump comme un sauveur : "Trump lutte contre l'Etat profond, Trump va faire ci et ça, il va y avoir des arrestations, Trump nettoie le marais, etc." En réalité, ce qu'on nous a vendu là est un TRIANGLE DE KARPMAN :
  • [VICTIME] Trump se fait passer pour une victime du système en place, de l'Etat profond ;
  • [SAUVEUR] il vous promet que si vous votez pour lui, le reconduisez dans ses fonctions présidentielles il va faire le job, nettoyer le marais, s'en prendre audit Etat profond, le détruire ;
  • [PERSECUTEUR] mais il s'avère vite, une fois reconduit dans ses fonctions, qu'il ne fait que servir ses maîtres, c'est-à-dire ledit Etat profond contre lequel il prétend lutter.
Les faux "sauveurs" comme Trump sont des outils du système en place (la démocratie représentative ou paternaliste) qui cherche à se maintenir au pouvoir. N'avez-vous pas vu comment Trump s'adressait à ses électeurs, à ses fans, à ses groupies lors de ses meetings ? il s'adressait à eux comme on s'adresse à des enfants. Ces faux "sauveurs", au lieu d'inciter les populaces à davantage d'autonomie, les infantilisent pour les maintenir dans la servitude. Car tant que vous vous comporterez dans votre tête comme des enfants, vous aurez besoin d'un "papa" présidentiel pour vous diriger, pour vous dire quoi faire, quoi penser, quoi accepter, quoi refuser, quand faire ci, quand faire ça, et gare à vous si vous refusez de vous soumettre à ses injonctions, c'est la fessée qui vous attend : la police, l'amende, la justice...

Nous devons grandir, mais pour cela nous devons comprendre les choses.

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